Peace Peace World.

Oo-YuUna-PoOwa-oO

Description :

Aujourd’hui, me semble que toute mon existence aura été un enchaînement de petit ratages, des femmes qu’on a pas su aimer, des chances qu’on a pas voulu saisir, des instants de bonheur qu’on a laisser s’envoler, une course dont on connais le résultat mais on est incapable de toucher le gagnant, Etais je aveugle et sourd ou bien fallait il nécessairement la lumière d’un malheur pour m’éclairer sur ma vrai nature Je viens de m’apercevoir qu’a part mon œil il y a 2 chose qui ne sont pas paralyser, mon imagination et ma mémoire. Mon imagination et ma mémoire sont les 2 seul moyen de m’échapper de mon scaphandre. Je peux imaginer n’importe quoi n’importe qui n’importe ou, me faire caresser par les vague a la martinique rendre visite a la femme que j’aime, me prosterner devant Ozimandias le roi des rois je peux imaginer n’importe quoi, vivre mes rêves d’enfance mes ambitions d’adulte, maintenant je veux me souvenir de moi tel que j’étais beau non chalands glamour séduisant diable oui glamour et très beau ça c’est pas moi c‘est Marland Brandeau ça c’est moi, … Derrière le rideau des toiles miter une clartés laiteuse annonce l’approche du petit matin, j’ai mal au talon la tête comme une enclume et une sorte de scaphandre qui m’encercle tout le corps ma tache consiste maintenant a rédiger les carnet de voyage immobile d’un naufragée échouer sur les rives de la solitude, a l’origine l’hôpital maritime a été fondée pour accueillir les enfant souffrant de tuberculose, dans la grande galerie de l’hôpital u buste de marbre blanc rappelle que l’impératrice Eugènie épouse de napoléon 3 a été la marraine de l’établissement qu’elle visitait régulièrement, il y avait une grosse ferme une école, et un lieu ou celons la légende le grand Diagilef répétât son ballet russe, on raconte que c’est ici que Nenjinski effectua son fameux seau s’élevant a 3 m dans les aires. Plus personne ici ne bondit dans les aires aujourd’hui il n’y a que des vieux affaiblis comme moi rigide et muet , un bataillons d’éclopés, je me fais souvent conduire a l’endroit que j’ai surnommé Chinichita une terrasse perpétuellement déserte donnant sur un paysage dont il imane le charme poétique et décalé des décors de cinéma, au pied des dune quelque baraque donne l’illusion d’un village fantôme du far west, j’aime voir les faubourg de Berque ils ont l’air d’une maquette pour train électrique quand a la mer son écume est si blanche qu’elle paraît sortir des rayon d’effet spéciaux, mais ce que je préfère c’est le far élancer robuste et rassurant avec sa livrée a rayures rouge et blanche je me place sous la protection de se symbole fraternelle qui veille sur les marins mais aussi les malades que le destin a fait dériver au qu’on fin de la vie, les 2 principale curiosités de ses micro musé sont un buste de marbre blanc qui restitue a l’éclat de sa jeunesse cet altesse déchu morte a 94 ans un demi siècle après la fin du second amendement…Pff 5h de travail mouai c’est pas mal, m’enfin ca vaux pas Balzac, lisez moi du Balzac il ne valait ne rien entendre ne rien voir lorsque a contre cœur la lumière revînt subitement sans prévenir un des agent de la police le gifflat il ressentit de l’indignation plutôt que de la colère il appartenait a une classe social respectueuse des lois la police été sa protection naturel, 45 ans divorcée et je désire téléphoner au Consule, et l’homme qui l’avais traité de cochon et qui portait un insigne de sergent lui demander de lui montré son passeport. La cocotte minute ça pourrait être un titre que j’écrirai un jour a partir de mon expérience j’ai aussi penser a la baptiser « l’œil et le scaphandre » vous en connaissez déjà l’intrigue et le décors, la chambre d’hôpital M.L un père de famille dans la force de l’âge apprend a vivre avec un looktingue syndrome séquelle d’un grave accident cardio-vasculaire ambitieux et plutôt cynique n’ayant pas jusque la essuyé d’échec M.L fait l’apprentissage de la détresse on pourra suivre cette lente mutation avec une voix off reproduisant le monologue intérieur de M.L. j’ai déjà la dernier scène c’est la nuit soudain M.L inerte depuis le lever des rideaux écarte drap et couverture saute au bas du lit fait le tour de la scène dans une lumière irréel puis le noir se fait et on entend une ultime fois le monologue intérieur de M.L « Merde c’était un rêve »

Ses Honneurs (13)

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• Mise à jour : 22/03/2012 à 19:52
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